Guérisons / Miracles

La puissance divine des guérisseurs

Pour ceux qui pourrait encore douter de l’efficacité de l’énergie divine qui orchestre des guérisons sur tous types de pathologies, devrait regarder les vidéos que j’ai posté dans cette rubrique.


La révolution de l’esprit (les guérisseurs)


Guérir par le sentiment positif 


Guérissez vous vous même


Laura Marie guérison spirituelle


Comment Guérir les Malades


Miracles en Live!


La guérison de soi-même et des autres.


Le pouvoir du subconscient


Les guérisseurs de la foi (à visionner absolument)


Guérison Divine témoignage


Les guérisons que Dieu réalise à travers la foi


Recette d’un antibiotique très puissant qui tue toutes les infections dans l’organisme.

Cet antibiotique naturel est si puissant qu’il tue toutes les infections dans l’organisme

Cet antibiotique naturel a aidé de nombreuses personnes à soigner diverses maladies virales, bactériennes, parasitaires et fongiques et même la peste. On ne devrait pas sous-estimer son pouvoir de guérison.

Il peut soigner de nombreuses conditions et des maladies chroniques. Il favorise la circulation sanguine et purifie le sang. Cette formule a aidé des millions de personnes à travers les siècles à lutter contre la plupart des maladies les plus mortelles.

Le secret de cette formule réside dans la puissante combinaison d’ingrédients naturels d’excellente qualité et frais!
Pour résumer, ce tonique est efficace pour traiter toutes les maladies, renforce le système immunitaire, agit comme médicament antiviral, antibactérien, antifongique et antiparasitaire. Il est d’une aide précieuse dans les infections les plus graves.

Antibiotique naturel : recette

Vous devriez porter des gants pendant la préparation, surtout lors de la manipulation des piments, car il est difficile de se débarrasser des picotements dans les mains ! Attention, l’odeur est très forte et il peut aussitôt stimuler les sinus.

Ingrédients (utilisez toujours des ingrédients bio):

700 ml de vinaigre de cidre
1/4 de tasse d’ail finement haché
1/4 de tasse d’oignon finement haché
2 piments frais, les plus forts possible (mettez des gants pour les nettoyez surtout!)
1/4 de tasse de gingembre frais râpé
2 cuillères à soupe de raifort râpé
2 cuillères à soupe de curcuma ou deux morceaux de racine de curcuma

Préparation:
1. Mélangez tous les ingrédients dans un bol sauf le vinaigre.
2. Transvasez le mélange dans un bocal en verre.
3. Ajoutez du vinaigre de cidre et remplissez-le jusqu’en haut. Il est préférable que le bocal contienne 2/3 d’ingrédients secs, et de remplir le reste avec du vinaigre.
4. Fermez bien et secouez.
5. Conservez le bocal dans un endroit frais et sec pendant 2 semaines. Agitez bien plusieurs fois par jour.
6. Au bout de 14 jours, filtrez le mélange. Pressez bien pour que tout le jus sorte.
7. Utilisez le reste du mélange lorsque vous cuisinez.

Votre tonique est prêt à l’emploi. Ce n’est pas la peine de le conserver au réfrigérateur. Il durera longtemps.
Conseil supplémentaire: vous pouvez également l’utiliser dans la cuisine. Mélangez-le avec un peu d’huile d’olive et servez-vous en comme sauce à salade ou dans vos ragoûts.

Posologie:
1. Attention: le goût est très fort!
2. Conseil supplémentaire: mangez une tranche d’orange, de citron ou de citron vert après avoir pris le fortifiant pour soulager la sensation de brûlure et de chaleur.
3. Faites un gargarisme et avalez.
4. Ne le diluez pas dans l’eau car il sera moins efficace.
5. Prenez 1 cuillère à soupe chaque jour pour renforcer votre système immunitaire et lutter contre le froid.
6. Augmentez la quantité tous les jours jusqu’à atteindre l’équivalent d’un verre par jour (la taille d’un verre à liqueur).
7. Si vous luttez contre une maladie ou une infection plus grave, prenez une cuillère à soupe du tonique 5 à 6 fois par jour.
8. C’est sans danger pour les femmes enceintes et les enfants (utilisez de petites doses), car les ingrédients sont naturels et ne contiennent pas de toxines.

Avantages pour la santé

L’ail est un antibiotique puissant avec de nombreux bienfaits. Contrairement aux antibiotiques chimiques qui tuent des millions de bactéries nécessaires à votre corps, il ne vise que les bactéries et les micro-organismes. L’ail favorise et augmente également la quantité de bactéries saines. C’est un agent antifongique puissant qui détruit tout antigène : les agents pathogènes, et les micro-organismes pathogènes.

L’oignon est le plus proche parent de l’ail et il a une action semblable mais plus douce. Ensemble, ils créent un duo très efficace pour lutter.

Le raifort est une plante puissante, efficace pour les sinus et les poumons. Il ouvre les canaux des sinus et améliore la circulation, où les rhumes et la grippe commencent habituellement, comme le diraient la plupart des médecins.

Le gingembre a des propriétés anti-inflammatoires puissantes et c’est un grand stimulant de circulation sanguine.

Les piments sont les meilleurs stimulants de la circulation sanguine. Ils envoient seulement leurs propriétés antibiotiques là où c’est nécessaire.

Le curcuma est la meilleure épice, il nettoie les infections et réduit l’inflammation. Il bloque le développement du cancer et empêche la démence. Il est très utile pour ceux qui souffrent de douleurs articulaires.

Le vinaigre de cidre – Il doit y avoir quelque chose de très sain dans l’utilisation du vinaigre de cidre car le père de la médecine, Hippocrate, l’utilisait aux alentours des années 400 avant JC pour ses propriétés curatives. On dit qu’il n’utilisait que deux remèdes : le miel et le vinaigre de cidre.

Le vinaigre de cidre est fabriqué à partir de pommes fraîches et mûres que l’on fait ensuite fermenter et passer par un processus rigoureux pour obtenir le produit final. Le vinaigre de cidre contient de la pectine, une fibre qui réduit le mauvais cholestérol et régule la pression artérielle.

Les experts de la santé s’accordent à dire que les gens ont besoin de plus de calcium en vieillissant. Le vinaigre de cidre aide à extraire le calcium à partir d’aliments qui en contiennent, ce qui contribue au processus de maintien de la résistance osseuse. Un manque de potassium entraîne différents problèmes, dont la perte des cheveux, les ongles cassants et les dents fragiles, la sinusite et l’écoulement nasal.

Le vinaigre de cidre est riche en potassium. Des études ont montré que les résultats des carences en potassium provoquaient une croissance lente.  Tous ces problèmes peuvent être évités si vous utilisez du vinaigre de cidre régulièrement. Le potassium élimine également les déchets toxiques de l’organisme.

Le bêta-carotène prévient les dommages causés par les radicaux libres, conserve une peau ferme et jeune. Le vinaigre de cidre est bon pour ceux qui souhaitent perdre du poids.

Il décompose la graisse qui soutient un processus naturel de perte de poids. Le vinaigre de cidre contient de l’acide malique, efficace pour lutter contre les infections fongiques et bactériennes. Cet acide dissout les dépôts d’acide urique qui se forment autour des articulations et soulage ainsi les douleurs articulaires. L’acide urique dissous est ensuite éliminé de l’organisme.

On pense que le vinaigre de cidre est utile pour traiter la constipation, les maux de tête, l’arthrite, les os faibles, l’indigestion, l’hypercholestérolémie, la diarrhée, l’eczéma, l’irritation des yeux, la fatigue chronique, l’intoxication alimentaire légère, la perte de cheveux, l’hypertension artérielle, l’obésité, et bien d’autres problèmes de santé.

Ce tonique est la meilleure combinaison pour lutter contre chacune de ces maladies. Préservez votre santé en utilisant des antibiotiques naturels !

https://diasporaechos.fr/cest-lantibiotique-naturel-le-plus-puissant-il-tue-nimporte-quelles-infections-dans-le-corps/

Guéri par jésus


Le chat guérisseur

Dans son « Dictionnaire de l’impossible », Didier van Cauwelaert présente une série de cas extraordinaires à priori impossibles, mais authentifiés. Le premier cas : un chat serait intervenu de l’au-delà pour aider son maître gangréné à guérir et sauver sa jambe. Plutôt étonnant, non ? 

C’était un jour de fête du Livre, à la fin des années 1990, dans les salons de la Mairie de Paris. Comme les mots de ce dictionnaire, les auteurs étaient disposés en enfilade au gré de l’alphabet, disparates et complémentaires, les plus connus permettant indirectement de découvrir les moins sollicités, devant lesquels stagnaient les files d’attente.

J’avais repéré depuis quelques minutes un petit monsieur entre deux âges qui, en retrait de mon stand, attendait une accalmie dans mes dédicaces. Il tenait sous le bras un énorme dossier vert, et je m’attendais au pire. Chaque Salon du livre nous réserve son lot d’admirateurs qui viennent nous soumettre un manuscrit. N’étant pas éditeur, je me promets toujours de répondre non merci, et je repars souvent avec un excédent de bagages, parce que j’ai nourri moi aussi, jadis, l’espoir illusoire que mon destin littéraire dépendrait de mes auteurs favoris. 
Profitant d’un moment de répit où je rechargeais mon stylo, le monsieur au dossier vert s’avança vers ma table et attaqua d’une traite : 
– Pardon, mais je vous ai lu, alors je sais que je peux vous raconter ce qui m’est arrivé. 

Condensé à l’extrême, son récit dura tout au plus trois minutes. Ayant grimpé dans un arbre pour cueillir des cerises, un an plus tôt, il était tombé en brisant une branche qui lui avait ouvert la jambe gauche. Mal soignée, la plaie s’était infectée, et la gangrène s’y était mise. Lorsqu’il avait fini par se rendre à l’hôpital, c’était trop tard : la seule chance de le sauver était l’amputation. La veille du jour fixé par le chirurgien, il était descendu dans la rue avec sa canne pour, une dernière fois, « emmener promener sa jambe », disait-il avec cette douceur résignée des gens simples face à l’irrémédiable. C’est là qu’il croisa une dame inconnue qui sursauta, à sa hauteur, sans s’arrêter. Machinalement, il tourna la tête après quelques instants. Elle s’était figée sur le trottoir et le fixait, l’air en suspens, aussi étonnée que lui. Semblant dominer une hésitation, un vrai trouble, elle revint soudain vers lui. – Pardon, monsieur, mais on me dit de vous demander une chose. Vous avez un souci à la jambe, non ? 
Il répondit par un pauvre sourire. Avec sa canne et sa guibole gonflée sous le bandage, pas besoin d’être extralucide pour en arriver à cette conclusion. Elle enchaîna : 
– Vous avez un chat ? Parce que c’est à lui qu’il faut demander. Excusez-moi. 
Et elle tourna les talons en rougissant, avec autant de précipitation que si on l’avait surprise en train d’écouter aux portes. Comme si elle avait honte de ce qu’elle s’était entendue dire, précisa mon lecteur. 

Il était resté un moment immobile sur le trottoir, sonné par cette rencontre. Il avait un chat, oui, mais qui était mort six mois auparavant. Quel rapport, de toute manière ? Cette femme était dérangée, voilà tout. Et il avait d’autres problèmes en tête. 
Néanmoins, rentré chez lui, il ne parvint pas à chasser de son esprit la dernière phrase de l’inconnue. Pourquoi ces mots, pourquoi cette émotion qui lui nouait le ventre ? Il ne croyait pas à grand-chose, à l’époque, surtout pas aux gens désintéressés. Ni à un au-delà quelconque. Dans le canapé où il s’était affalé, il ne voyait vraiment pas quel genre de soutien il pouvait attendre du siamois qu’il avait enterré dans son jardinet de banlieue. Ses doigts rencontrèrent des poils sur les coussins de velours. Tout ce qui restait de Mozart, son compagnon de treize années. Alors il y eut en lui une espèce de sursaut. Qu’avait-il à perdre, après tout ? Il s’arracha du canapé, alla mettre un sac neuf dans son aspirateur, le passa sur les coussins, puis retira le sac pour récupérer les poils. Avec un soin dérisoire, il les étala sur la plaie de sa jambe, et il refit le pansement tandis qu’il demandait de l’aide au siamois, s’abandonnant à ce dernier espoir irraisonné. 

Le lendemain matin, une odeur épouvantable le réveilla. Bien pire encore que celle que dégageaient d’habitude ses chairs en décomposition. Il retira le bandage et jeta le cataplasme de poils félins où s’était concentré la puanteur. C’est alors qu’il découvrit, médusé, que sa peau avait changé de couleur. Les bords de la plaie semblaient rosir. Arrivé à l’hôpital, il demanda qu’on réexamine sa jambe avant de la couper. Il insista tant et si bien qu’il obtint gain de cause. Le dossier vert qu’il m’avait apporté ce jour-là rassemblait cent pages de rapports médicaux, d’analyses, de témoignages de spécialistes confirmant, sur papier à en-tête, les diagnostics avant et après ce que le patient appelait « l’intervention de Mozart ». Les praticiens étaient formels : la gangrène dûment constatée avait « guéri » de manière inexplicable, et les chairs se reformaient plus vite que de raison. 

Quand je relevai les yeux du dossier médical, je vis un noyau de lecteurs qui s’était formé autour du petit monsieur. Mes livres au bout de leurs bras ballants, ils me tournaient le dos, admirant sa jambe gauche aux cicatrices des plus discrètes sous le pantalon qu’il venait de retrousser. Une dame reposa mon roman pour me prendre des mains le dossier vert. 
Quelques instants plus tard, le miraculé des poils de Mozart s’en alla, emportant mes lecteurs qui se disputaient ses pièces à conviction. 

Que penser de ce récit ? La guérison était-elle due à l’action posthume d’un siamois via ce qui restait de sa matière physique, ou bien du fait que son maître s’était – pour reprendre son terme – abandonné à ce dernier espoir ? Cette « victoire par abandon », ce lâcher-prise sous-tendu par l’espoir, on en retrouvera l’hypothèse dans plusieurs cas de guérisons inexpliquées, passés au crible de ce dictionnaire. Mais comment interpréter le rôle de l’inconnue sur le trottoir ? Ce « renfort » destiné à attirer l’attention, par des paroles semblant surprendre autant celle qui les prononce que celui qui les entend. 
Faut-il y voir, pour paraphraser Pirandello et ses « personnages en quête d’auteur », un message en quête d’intermédiaire – en l’occurrence, la première personne « réceptive » croisée en chemin par le gangréné, vu l’urgence de la situation ? Je n’ai pas de réponse. Mais ce genre de question reviendra souvent dans les pages qui suivent. 

Aujourd’hui encore, je me demande pourquoi cet homme avait éprouvé le besoin de me confier son histoire. Il allait très bien, les médecins avaient validé son miracle, il ne m’avait pas demandé mon avis ni mon aide, encore moins la médiatisation de son cas sous ma signature. Il n’avait pas besoin de moi, en fait. Il était reparti avec mon public, sans même me dire au revoir. 

Quelques mois plus tard, je souffris brusquement d’une sigmoïdite aiguë, provoquant abcès intestinal et douleurs insoutenables. Ayant refusé l’opération à chaud qui aurait eu les conséquences qu’on imagine, je luttai toute une nuit contre la menace de la péritonite, avec autant de force mentale que de lâcher prise, m’abandonnant à la certitude que j’avais trop à faire pour mourir. Face à l’échec des antibiotiques sous perfusion, je ne manquai pas, dans la mobilisation générale de tous les moyens empiriques à ma disposition – prières, mantras, techniques de souffle et de visualisation –, de demander, au cas où, l’assistance de Célestine et Chapy, mes deux chattes défuntes. 

Le lendemain matin, l’infection avait régressé de manière spectaculaire. Mes analyses étaient quasi normales. « Je ne sais pas comment, mais vous avez gagné : je range mes instruments », m’a déclaré, avec un sourire que je n’oublierai jamais, mon jeune chirurgien, le Dr Jean-Philippe Blanche. 
Avec le recul, je me suis dit que l’homme au dossier vert de l’Hôtel de Ville avait, peut-être, tenu auprès de moi le rôle qu’avait joué dans son destin une inconnue croisée sur un trottoir.

Un maître guéri par son chat depuis l’au-delà